Le député Ferjani Doghmane (Ennahdha) reconnaît que le développement de la contrebande et du marché parallèle en Tunisie est dû notamment à l’affaiblissement de l’appareil de l’Etat.
Intervenant, mardi 24 décembre, sur Shems FM, Ferjani Doghmane, président de la commission des finances, de planification et du développement à l’Assemblée nationale constituante (ANC), a déploré le manque de patriotisme des citoyens qui s’adonnent aux trafics de toutes sortes, tout en soulignant l’insuffisance des moyens dont disposent les appareils chargés de lutter contre l’économie parallèle. On doit promulguer des lois permettant de régulariser le secteur informel, tout en présentant des garanties aux commerçants qui s’y adonnent pour les convaincre des bénéfices qu’ils pourraient tirer en intégrant le secteur formel, a préconisé M. Doghmane. Z. A. |