Le gouvernement, qui détient 65% du capital de l’opérateur historique Tunisie Telecom, n’a pas de projet pour en céder 16%, comme affirmé par certains médias.
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Ce démenti a été apporté jeudi par Tawfik Jelassi, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et des Technologies de l’information et de la communication. En d’autres termes, l’Etat tunisien a de gros problèmes pour trouver les ressources nécessaires au financement de son budget pour 2014, mais ce n’est pas une raison pour qu’il se mette à vendre les bijoux de famille. Tunisie Telecom, l’un des fleurons du secteur public dans le pays, a connu une privatisation partielle, en juillet 2006, avec l'entrée dans son capital, à hauteur de 35%, du consortium émirati Emirates International Telecommunications (ETI). Z. A. |
