Selon les experts, une baisse d’un point de croissance en Union européenne se traduit par 0,38 point de croissance en moins pour la Tunisie.


Cette estimation prend en compte exclusivement le canal du commerce de marchandises, en excluant donc le tourisme et les transferts de fonds des migrants.

La zone euro représente près des trois-quarts des échanges extérieurs tunisiens. La conclusion est vite faite : la trop forte dépendance de la Tunisie vis-à-vis du Vieux continent est loin d’être un atout, surtout lorsque les économies des principaux partenaires européens de la Tunisie (France, Italie, Allemagne, Belgique et Espagne) commencent à faire grise mine.

I. B.