Firas, retrouvé mort le 11 mai courant, au fonds d’un puits, à Ghar El-Melh, gouvernorat de Bizerte, après 17 jours de disparition, avait été tué.
Le corps de Firas Jaafar (20 ans) avait été retrouvé par les des agents de la garde nationale, alertés par une odeur nauséabonde émanant d’un puits dans la région. L’autopsie, dont les résultats viennent d’être connus, confirme la thèse du meurtre que la famille du défunt avait privilégié dès le début.
Le jeune homme, qui avait une blessure profonde au cou, aurait été tué par strangulation.
L’enquête se poursuit et les proches ne s’expliquent pas le meurtre, car Firas n’avait aucun problème avec quiconque.
Y. N.
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