Le bilan de la collision entre un train et un bus, le 28 décembre 2016, à Jebel Jeloud, au sud de Tunis, s’est élevé à 6 morts.
Un premier bilan, le jour même de l’accident, faisait état de 5 morts : Mohamed Gmati, un policier de la brigade antiterroriste (BAT), 2 soldats, Ibrahim Zoghlami et Walid Aissaoui, un bébé et Naïma Ghrab.
L’accident avait également fait 52 blessés dont 3 grièvement. L’un d’entre eux a rendu l’âme, mardi 31 janvier 2017, à l’hôpital de la Marsa.
Une enquête a été ouverte pour déterminer les responsabilités dans cet accident, le chauffeur du bus de la Société régionale de transport du gouvernorat de Nabeul (SRTGN) a été arrêté et la justice a ordonné un mandat de dépôt à son encontre. Le rapport a révélé que le chauffeur était en excès de vitesse.
D’autres éléments ont aussi été pointés du doigt : l’absence des signalisations et de barrières au passage à niveau, le manque de coordination entre la SNCFT et la Transtu.
Y. N.
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