12 Fév 2017 | 14:31 SOCIETE, Tunisie
Un policier à été agressé par des inconnus, dans la soirée du vendredi 11 février 2017, à Hammam-Lif, banlieue sud de Tunis. Il pourrait perdre l’usage d’un oeil.
Ezzeddine Rebhi rentrait de son travail du poste de police de Radès, gouvernorat de Ben Arous, quand des inconnus cagoulés et munis d’armes blanches l’ont agressé avant de fuir.
L’agent Rebhi à été découvert par des passants, qui l’ont transporté à l’Institut Hédi-Raïs d’ophtalmologie, à Bab Saadoun, Tunis, où il a subi une opération sur son œil droit dont il pourrait perdre l’usage. Sa famille, qui le cherchait depuis vendredi, à été informé de l’incident samedi matin.
Victime de blessures et contusions sur plusieurs parties de son corps, l’agent a été maintenu sous surveillance médicale.
Les agresseurs de Ezzeddine Rebhi n’ont pas été identifiés mais ce dernier a affirmé qu’ils l’ont traité de «sale flic» en l’agressant, en montrant une haine pour le corps sécuritaire.
Y. N.
arrêter tous les vendeurs d’alcool de la zone et vous allez trouver les agresseurs .
vengeance
Des lâches.
Un homme seul contre une bande avec des armes blanches. Je pense que ce policier a arrêté l’un d’entre eux? un frère ou ami? Il y’a aussi la possibilité qu’il ai eu une altercation ultérieure. Il doit chercher dans ses souvenirs et je suis sur qu’il trouvera les coupable?
Et les citoyens qui se font mettre la pression ou agresser par les policiers parce qu’ils refusent de donner de l’argent en plus pour avoir un papier administratif on en parle ? Un policier de Hammam-Lif ne m’a pas donner mon B3 parce que j’ai refusé de lui donner un pot de vin. Alors franchement faut arrêter l’hypocrisie là !!