L’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (Utica) a fait part de sa profonde préoccupation après la forte baisse du dinar tunisien enregistrée au cours des deux derniers jours.
Cette baisse représente un réel danger pour l’économie nationale, eu égard ses conséquences très négatives sur l’investissement, la compétitivité des entreprises, l’inflation, le déficit de la balance commerciale, l’endettement et le service de la dette, dont les taux sont très élevés, ainsi que sur les grands équilibres financiers du pays et sur la caisse de compensation, étant donné que la plupart des produits de base sont importés de l’étranger, indique l’organisation patronale dans un communiqué publié aujourd’hui, jeudi 20 avril 2017.
L’Utica estime que la stabilité en général et la stabilité du taux de change en particulier sont des facteurs fondamentaux qui ont un impact important sur la compétitivité des entreprises et l’impulsion du développement.
La politique monétaire, y compris la révision de la valeur de la monnaie nationale, doit être décidée en concertation avec les parties concernées et sur la base d’une vision économique et des orientations claires, souligne, par ailleurs, la centrale patronale, ajoutant que toute révision de la politique monétaire «doit être accompagnée de procédures permettant d’éviter la confusion et le désordre sur la scène économique et financière.»
Face aux déclarations des différents acteurs confirmant la poursuite de l’effondrement de la valeur du dinar, qui ont déjà provoqué un état de confusion et d’appréhension chez l’ensemble des Tunisiens et en particulier les entreprises, l’Utica appelle le gouvernement et la banque centrale à expliquer les raisons ayant conduit à cette situation et les plans qui seront adoptés pour mettre fin à l’hémorragie de la monnaie nationale, qui menace désormais la pérennité de l’entreprise tunisienne, sa compétitivité et sa capacité à investir et à créer des emplois, ainsi que le niveau de vie du citoyen tunisien.
Pour sauver le Dinar, consommer tunisien et boycotter les produits importés,même temporairement ,et surtout turques ,des produits souvent de mauvaise qualité et entrés en noir avec le minimum de taxe et le max de corruption à tous les échelons et pleins de bénéfices pour les pseudo affairistes (les importateurs qui protestent ) et travailler, bosser, fournir, produire, être propre dans tous les sens du mots ,être agréable,sérieux honnête avec les clients qui ont le droit d’être exigeants, les clients tunisiens et surtout étrangers pourvoyeurs de devises( pour les exportations agricoles ,tourisme,donneurs d’ordres ou investisseurs industriels ,même dans l’exportation de service,) Motiver les jeunes cerveaux tunisiens ,souvent anciens élèves des écoles pilotes ou pas, qui sont certes souvent surqualifiés pour revenir en Tunisie ou qui sont déjà sur place et qui souffrent en silence toutes ces compétences peuvent aider a favoriser au développement. Il ne faut pas raisonner qu’en macro économie ,mais privilégier en parallèle les approches et les stratégies micro économiques….Travailler ,rajeunir et « réveiller » l’administration ,il faut de véritables managers et stratèges avec de l’innovation , tout cela, malheureusement pour nous ,nous l’exportons autant sinon plus que les djihadistes mais personne n’en parle, ni nous ni les pays qui en profitent,mais on ne nous rappel que nos défauts et certains politiques pensent que c’est mieux comme cela pour continuer à patauger dans la médiocrité qui leur sied
Les soit disant businessmen devront produire Tunisien , exporter et rapatrier Les $$_.
les grands argentiers ont decide de dilapider le tunisien…
Pour sauver le Dinar, consommer tunisien et boycotter les produits importés,même temporairement ,et surtout turques ,des produits souvent de mauvaise qualité et entrés en noir avec le minimum de taxe et le max de corruption à tous les échelons et pleins de bénéfices pour les pseudo affairistes (les importateurs qui protestent ) et travailler, bosser, fournir, produire, être propre dans tous les sens du mots ,être agréable,sérieux honnête avec les clients qui ont le droit d’être exigeants, les clients tunisiens et surtout étrangers pourvoyeurs de devises( pour les exportations agricoles ,tourisme,donneurs d’ordres ou investisseurs industriels ,même dans l’exportation de service,) Motiver les jeunes cerveaux tunisiens ,souvent anciens élèves des écoles pilotes ou pas, qui sont certes souvent surqualifiés pour revenir en Tunisie ou qui sont déjà sur place et qui souffrent en silence toutes ces compétences peuvent aider a favoriser au développement. Il ne faut pas raisonner qu’en macro économie ,mais privilégier en parallèle les approches et les stratégies micro économiques….Travailler ,rajeunir et « réveiller » l’administration ,il faut de véritables managers et stratèges avec de l’innovation , tout cela, malheureusement pour nous ,nous l’exportons autant sinon plus que les djihadistes mais personne n’en parle, ni nous ni les pays qui en profitent,mais on ne nous rappel que nos défauts et certains politiques pensent que c’est mieux comme cela pour continuer à patauger dans la médiocrité qui leur sied