Les affaires syndicales ne prennent pas tout le temps de Noureddine Taboubi, qui a le temps de s’occuper des problèmes de son club préféré : l’Olympique de Béja.
Chez tous les clubs tunisiens, grands et petits, l’intersaison est souvent une période budgétivore.
En effet, cette période de «transition» en vue de la nouvelle saison implique des dépenses immédiates en recrutements, en primes de signature, en arriérés de salaires et autres ponctions qui finissent par crever les caisses.
L’Olympique de Béja n’est pas en reste. Mais le club du nord-ouest a trouvé en la personne de Noureddine Taboubi, secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), un appui et un soutien des plus précieux. En tout cas, son intervention a été d’un apport certain.
Aux dernières nouvelles, il a été convenu, mercredi 5 juillet 2017, lors d’une réunion des anciens présidents, du président sortant de l’association Mohamed Ibrahimi, de fournir 600.000 dinars comme enveloppe pour financer la reprise de la préparation.
De son côté, Noureddine Taboubi, présent à cette réunion, s’est engagé à intervenir auprès des caisses de sécurité sociale afin d’échelonner le paiement des dettes du club estimées à 450 .000 dinars. Comme il a promis d’intervenir auprès de la société régionale de transport afin qu’elle fournisse une subvention de 30.000 dinars tout en «effaçant» la dette du club auprès de la même société.
H. M.
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