Des Américains manifestent contre l’Arabie saoudite devant la Maison blanche. Après plus de deux semaines de déni, les autorités de l’Arabie saoudite viennent de reconnaître la «mort accidentelle» (sic !) du journaliste Jamal Khashoggi, au consulat saoudien d’Istanbul, et de dévoiler, par la même occasion, le vrai visage de son prince héritier, Mohammed Ben Salman,...
Catégorie : TRIBUNE
Qu’est-ce qui empêche le développement de l’industrie du livre en Tunisie ?
L’édition est un secteur porteur en Tunisie de par la demande potentielle existante et la faiblesse de l’offre présentée par les éditeurs actuels. Avis aux investisseurs… Par Samir Messali *
Disparu le 2 octobre 2018 à Istanbul : Qui est Jamal Khashoggi?
Jamal Khashoggi. Un nom sur toutes les lèvres partout dans le monde depuis trois semaines. Le journaliste saoudien est entré dans le bâtiment du consulat de son pays à Istanbul, le 2 octobre 2018, pour ne plus en ressortir. Qui est-il? D’où vient-il? Par Chedly Mamoghli *
Tunisie : Les professionnels de la dialyse tirent la sonnette d’alarme
Lettre ouverte à monsieur Youssef Chahed, chef du gouvernement, de la part du Groupement professionnel de dialyse, relevant de la Conect : les centres d’hémodialyse sont victimes de l’inflation et du glissement du dinar avec le risque d’impact sur la santé des malades.
Bloc-notes : Après l’affaire Khashoggi, en finir avec l’islam voyou
Le prince héritier Mohammed Ben Salman/Jamal Khachoggi. Les autorités de l’Arabie saoudite ne sont pas seulement responsables de la mort de leur ressortissant Jamal Khashojji; elles le sont surtout du déshonneur fait à l’islam. Ce qui impose aux musulmans de réagir pour l’honneur de leur foi. Par Farhat Othman *
Nidaa : Bienvenue au nouveau petit copain du fils de son père
Le simulacre de fusion entre Nidaa et l’UPL, qui ressemble davantage à un télescopage, est tellement grotesque qu’il n’aura pas de lendemain et nous fait rappeler que l’hypocrisie est l’un des fondements de l’action politique, et surtout en Tunisie. Par Tarak Arfaoui *
Tunisie : La démocratie enfin libérée de l’alliance Nidaa-Ennahdha
Le 24 septembre 2018, le président tunisien Béji Caïd Essebsi a annoncé la fin d’une alliance, qui aura duré quatre ans, entre son parti laïc, Nidaa Tounes, et le parti islamiste Ennahdha. Serait-ce, là, la fin de la paralysie du système démocratique en Tunisie? Par Sharan Grewal * et Shadi Hamid **
Tunisie : Des partis sans principes et qui se vendent au plus offrant
Slim Riahi et Hafedh Caïd Essebsi : Qui achète qui et à quel prix ? La scène politique tunisienne vient ce week-end d’ouvrir une nouvelle page peu glorieuse de son histoire et dont les premiers acteurs seront marqués, pour toujours, du sceau de la vilenie et de l’indignité. Par Mohamed Ridha Bouguerra *
Hommage à Ahmed Tlili, une figure de proue du syndicalisme tunisien
Les Tunisiens célébreront demain, mardi 16 octobre 2018, le 102e anniversaire de la naissance d’Ahmed Tlili, un nationaliste sincère, un militant dévoué et une grande figure du syndicalisme tunisien, maghrébin, arabe et africain. Par Mohamed Habib Salamouna *
Dictature, démocratie et corruption dans le monde arabo-musulman…
Depuis les échecs des «printemps arabes», on a beaucoup parlé, à juste titre, du péril islamiste ou du naufrage de la démocratie au sud de la Méditerranée et au Moyen-Orient. Mais revenons ici, sur l’un des plus grands fléaux qui touche depuis trop longtemps le monde arabo-musulman : la corruption. Par Roland Lombardi *