Au lieu de poursuivre la surenchère revendicatrice et de chercher à jouer un rôle politique de premier ordre, qui n'a rien à voir avec la mission syndicale, l'UGTT gagnerait beaucoup à s'inspirer des syndicats allemands.
Catégorie : TRIBUNE
La bonne santé trompeuse des banques tunisiennes
Selon Fitch Ratings, les conséquences indirectes du conflit russo-ukrainien devraient accélérer les risques d’insolvabilité des banques tunisiennes.
Justice, médecine et éthique en Tunisie : les deux doigts de la honte !
En 2022, en Tunisie, on demande à une femme d'écarter les cuisses et avec une loupe on regarde ses parties génitales.
Tunisie : s’opposer à Kaïs Saïed sans absoudre Rached Ghannouchi
Il s'agit désormais de s'opposer au pouvoir autoritaire du président Kaïs Saïed, sans pour autant absoudre les crimes de Rached Ghannouchi.
Tunisie : Laissons la commission Belaid travailler et jugeons-la ensuite !
Le doyen Belaid cherche visiblement à aboutir à un projet de constitution fidèle à la vocation éternelle de la Tunisie et à l'âme de son peuple, progressiste et ouvert.
L’UGTT appartient au vieux monde d’où la Tunisie doit sortir
L'UGTT qui, par ses surenchères politiques, est responsable de la banqueroute actuelle de La Tunisie, n'a aucune légitimité pour dicter leur avenir à nos enfants et petits-enfants.
Tunisie-Dialogue national : la diplomatie encore et toujours marginalisée
Commission consultative des affaires économiques et sociales commence ses travaux dans une ambiance tendue et chaotique.
Tunisie : corporatisme, indépendance et instrumentalisation politique de la justice
Sous l'autorité du parti Ennahdha, la justice tunisienne n'a pas été indépendante, et elle en paie aujourd'hui le prix.
Tunisie : Kaïs Saïed et le degré zéro de l’autoritarisme
Depuis le «coup d’éclat démocratique» du 25 juillet 2021, le despotisme rampant se poursuit sournoisement en Tunisie.
Tunisie : la perversité d’un monétarisme à deux vitesses
La Banque centrale de Tunisie (BCT) monte en flèche son taux directeur à 7%, pour contrer une inflation de 7,5%, sacrifiant encore une fois l’investissement et la croissance.