Dernière manifestation de la guerre d’usure livrée à l’Etat tunisien pour l’affaiblir, la prolifération de pages fake sur Facebook et Twitter attribués au ministère de la Défense et à l’Armée nationales pour semer le trouble, la désinformation et les rumeurs devenus l’une des armes des guerres de 4e et 5e génération.