Si le sang du lama possède des anticorps qui in vitro semblent actifs sur les cellules humaines infectées par le virus Sars Cov 2, ses lointains cousins, les dromadaires vivant sous nos climats pourraient également constituer une piste intéressante pour nos propres chercheurs dans la recherche d’anticorps antiviraux. Par Dr Mounir Hanablia *