En Tunisie, nous avons bien un pluripartisme et une liberté d’expression mais de façade, dominés par un projet politico-religieux incarné par le parti islamiste Ennahdha et porté par un mouvement planétaire qui s’insère dans le néolibéralisme de la mondialisation et les conflits entre blocs où il nous entraîne. Qualifier cela de démocratie serait donc tout...