Ce n’est peut-être pas un poisson d’avril : le peuple tunisien, malgré toutes les difficultés sociales et économiques auxquelles il fait face actuellement, est peut-être en train de freiner la propagation de l’épidémie du coronavirus avec de grands sacrifices dépassant ses moyens. On l’espère vraiment, mais sans relâcher notre vigilance. Par Pr Faouzi Addad *