L’U.S. Commercial Service organise, le 8 décembre, à 12h, heure des Etats-Unis, une vidéo conférence sur les débouchés commerciaux en Tunisie, en Egypte et au Maroc.


«Les investissements dans les infrastructures portuaires, les conditions commerciales favorables et l’accès facile aux marchés de trois continents offrent des opportunités stratégiques pour les exportateurs américains vers la Tunisie, l’Egypte et le Maroc», expliquent les organisateurs de cette vidéo conférence ouverte à tous sur simple enregistrement via ce lien https://emenuapps.ita.doc.gov/ePublic/newWebinarRegistration.jsp?SmartCode=1Q3J.
Au cours de ce séminaire en ligne, les experts en commerce des ambassades américaines de Tunis, Le Caire et Rabat feront part de leur vision de la situation de ces marchés et de leurs besoins croissants en équipements et services, notamment en matière d’extensions portuaires, d’investissements dans les infrastructures, les solutions de chaîne d’approvisionnement, les infrastructures énergétiques, de sécurité et d’industrie de la sécurité.
Une session de questions et réponses se tiendra immédiatement après la présentation. Les personnes intéressées, qui aurait procédé à l’enregistrement, reçoivent deux e-mails. Le premier message confirmera leur inscription et le deuxième contiendra des informations pratiques sur la procédure de participation.
La National U.S.-Arab Chamber of Commerce (Nusacc), la chambre de commerce américano-arabe, qui est associée à cette opération, est considérée comme la voix des entreprises américaines dans le monde arabe, est en contact avec les milieux d’affaires aux États-Unis et sert de point de contact, aux États-Unis, avec les chambres de commerce nationales dans les 22 pays arabes.
Elle travaille, quotidiennement, en étroite collaboration avec les leaders dans le monde arabe, ainsi qu’avec les décideurs de haut niveau des milieux d’affaires aux États-Unis, les centres publics de recherche sur les politiques, les institutions multilatérales, les organisations non gouvernementales, les médias et le gouvernement des États-Unis.

I. B.