Moncef Mzabi, administrateur du groupe Mzabi, dément les allégations le concernant et les mesures de coercition émanant à son encontre par le Conseil fédéral suisse le 19 janvier 2011.


Le Groupe Mzabi vient de saisir ses avocats pour rétablir la vérité et faire assumer aux autorités suisses l’entière responsabilité des conséquences de tout préjudice dans ce contexte de désordre et d’insécurité qui vit aujourd’hui le pays.
Et de préciser que la famille Mzabi est présente dans le secteur de l’industrie  depuis 75 ans. C’est-à-dire plus de 50 ans avant l’arrivée au pouvoir le président déchu. M. Mzabi insiste qu’il n’a jamais eu de lien direct ou indirect avec la famille Ben Ali, ni avec son clan élargi.
Il affirmer aussi qu’aucune «suspicion légitime, aucun soupçon, aucun indice, ni aucun fait de nature à justifier une implication quelconque dans les agissements commis par le président déchu Ben Ali, sa famille».
M. Mzabi ajoute que le clan Ben Ali a incarné la mafia et que son groupe a été victime de racket organisé par cette mafia.
L’administrateur du groupe Mzabi ayant plusieurs entreprises en bourse a toujours présenté, en toute transparence, ses comptes et tous les chiffres du groupe sont certifiés par des commissaires aux comptes assermentés et tout détournement d’argent public est exclu.