Créé en 1976, le Foprodi a permis de créer des centaines d’entreprises au moins, mais il est peut être grand temps de l’abandonner.
C’est du moins ce que pense Karim Ghenim, le président de l’Association tunisienne des investisseurs en capital (Atic), qui ne cache pas que «qu’on refuse de financer» des projets lancés avec le Fonds de promotion et de décentralisation industrielles (Foprodi), pour deux raisons au moins. D’abord, cet instrument est «désuet». Ensuite, il présente l’inconvénient «d’engendrer des impayés énormes». Nabil Ben Ameur |
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