L’homme d’affaires, qui intervenait lors de la rencontre-débat organisée, vendredi, au siège de l’Institut arabe des chefs d’entreprise (Iace), a déclaré : «Nous avons une dette envers les jeunes de la révolution qui nous ont libérés de la peur. Les sommes que nous donnions auparavant au fonds 26-26 et pour financer des campagnes électorales dont les résultats étaient connus d’avance devraient être données aujourd’hui aux régions.»
M. Abbès a déploré, par ailleurs, que le Fonds de soutien aux victimes de Sidi Bouzid, créé en janvier dernier, n’a collecté auprès des hommes d’affaires que des sommes très faibles.