Bitaka, la société de services informatiques de l’ex-footballeur, se positionne comme interface entre les banques et les opérateurs télécom dans le cadre de la recharge téléphonique et du paiement sur le portable.

Tout comme il a réussi une grande carrière de footballeur professionnel – après l’Espérance Sportive de Tunis, il a joué pour Guimaraes (Portugal) et Vissel Kobe (Japon) –, Zied Tlemsani est en train de se frayer un chemin dans le monde des affaires. Cet ingénieur informatique dirige depuis huit ans Bitaka, une société de services et d’ingénierie informatiques spécialisée dans les cartes à puce, qu’il avait créée en 2002 après que sa carrière sportive soit arrivée à son terme.       
Cette société vient de connaître une série de changements qui lui donnent une autre allure. D’abord, en  plus de l’augmentation de son capital, cette sarl a été transformée en société anonyme.  Ensuite, cinq nouveaux associés (Moez Tlemsani, Mme Samia Zgolli, Abdelbasset Chebbi, Fayçal Dargouth et Mme Aïda Dargouth) font leur entrée au capital à hauteur d’une part sociale pour chacun d’entre eux, à sa valeur nominale.
Enfin, l’objet social de Biataka est étendu pour englober six activités: prestation de services informatiques pour les secteurs des télécommunications et de la monétique – dans le but d’«assurer l’interfaçage entre les banques et les opérateurs télécom dans le cadre de la recharge téléphonique et du paiement sur le portable»-, développement et maintenance de logiciels, personnalisation des cartes, conception et gestion de banques de données et services télématiques et commercialisation de tous produits reliés à la monétique.

M. L.

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