Après NewYork, Milan, Paris, Dubaï... le nouveau parfum Tom Ford est en vente au 45 avenue Habib Bourguiba à Tunis, en attendant de planter son enseigne dans d'autres villes tunisiennes. Pour vous les femmes...


 

En vitrine : des bouteilles de verre au turquoise transparent, qui rappelle les eaux de la Méditerranée, ou habillées d’un brun foncé ou autre bleu nuit fleurant bon un jardin d’Orient traversé par un trait de soleil : musc, agrumes ou jasmin...


Rym et sa mère

Au jardin secret des parfums

Pour le corps, une collection de crèmes satinées tirées des vergers méditerranéens, infusées d’une note d’ambre, ou extraites de gardénia, du bois, du oud (clou de girofle), d’une goutte d’huile d’olive, d’une graine de raisin ou de celle d’une datte, lovées dans des bouteilles, des pots ou des tubes d’un turquoise tantôt clair, tantôt opaque.

Le tout accompagné d’une collection de rouge à lèvres entre fruité et boisé, vibrant d’une palette de couleurs, allant du ton naturel au plus sophistiqué. Il s’agit de la fragrance Private Blend (et marque de fabrique) résolument originale que vient de proposer Tom Ford pour la nouvelle saison.


Rym Mosreane

L’ancien couturier, qui a accompagné Gucci de 1990 jusqu’à 2004 dans la création des lignes des produits du prêt à porter et des parfums de la marque italienne, s’est au final créé son propre jardin secret. Et le voilà consacré depuis plus de six ans, rien que pour parfumer ces femmes.


Tom Ford Crew

Un secteur en pleine évolution

La gamme Tom Ford est en vente depuis une dizaine de jours en Tunisie et distribuée par Syhem Bouhlila (ancienne étudiante en sciences économiques avant d’entrer dans le monde de parfum en 1996 via sa société Prima) et qui se fait actuellement aider par sa fille Rim Moscreane, diplômée de l’Ecole supérieure de commerce de Paris.

Comment vont les affaires ? «Il est vrai que les premiers 15 jours de la révolution, il y a eu forte baisse. Mais ça a repris peu à peu. Le secteur est en pleine évolution, même si la conjoncture actuelle est en difficulté», affirme Mme Bouhlila.

Z. A.