Les producteurs tunisiens de sous-vêtements féminins ont dans l’Algérie voisine un marché à très fort potentiel. En effet, à en croire nos confrères d’ ‘‘El Watan’’, le marché de la lingerie féminine connaît une grande expansion dans ce pays. Et pour cause: les Algériennes voient désormais dans le choix de leurs sous-vêtements le moyen d’exprimer leur coquetterie, leur originalité et leur différence.
Beaucoup de marques françaises (Playtex, Dim…) sont présentes dans les boutiques de la rue Didouche Mourad, à Alger, temple local de l’habillement, constate ‘‘El Watan’’. Les prix varient entre 200 à 400 dinars algériens (4 à 8 dinars tunisiens) pour les culottes, strings, boxers ou autres, et de 500 à 600 DZD (10 à 12 DTN) pour les soutiens-gorges.
Les Algériennes ont cependant la certitude que les modèles exposés en Algérie ne sont pas les mêmes qu’en France et qu’ils seraient «spécialement destinés à l’exportation vers certains pays comme l’Algérie.»