Pour découvrir le Galaxy Note, nouveau né de Samsung, les invités de la maison coréenne ont répondu présents, vendredi soir à l’expo au restaurant Le Golfe de La Marsa. Une connexion personnalisée, à tester avec plaisir.
Jeudi dernier, Samsung a officiellement lancé son Galaxy Note et l'a présenté aux médias chez EcomEvent (aux Berges du Lac). Un nouveau produit cumulant les performances d’un Smartphone et celles d’une tablette.
Le Galaxy Note vaut bien une fête.
Servez-vous !
Samedi soir, les représentants de la maison coréenne ainsi que leurs partenaires de Medcom, société spécialisée dans la distribution de téléphonie mobile, ont organisé, à La Marsa, une petite fête au bonheur des amis et des amis des amis. Architectes, designers, médecins, ingénieurs, responsables de médias, artistes... étaient tous de la fête. Des lumières tamisées, du chant et de la musique, des plateaux de salés sucrés et une ambiance bon enfant.
A l’entrée, sur les murs de l’espace, plein comme un œuf, on a placardé des tableaux esquissant des graffitis faits par des artistes à partir d’applications composées par le Galaxy Note. Une manière pas bête pour faire de la pub !
Sur une petite table, on n’a pas oublié de poser un petit livre passant en revue les performances du dernier cri de Samsung enrichi par des témoignages de ceux qui l’ont testé.
Ils ont essayé, ils ont aimé !
Le swing de circonstance.
Selon l’artiste plasticien, Dali Belkadhi, la vie est beaucoup plus belle avec ce nouvel objet : «C’est Galaxy Note qui me permet de croquer, dessiner et esquisser partout et à tout moment... N’est ce pas magique ?!».
Raouf Ben Amor et Kee Won Park, échange de cartes visites.
Loin de l’errance de cet artiste, le médecin Kais Boussen a trouvé un bon outil de travail : «Un patient malien venait d’arriver de Bamako à ma consultation avec un dossier médical fourni qui comprenait entre autre un scanner de l’abdomen qui avait été étiqueté ‘‘normal’’. En regardant les images du scanner avec plus d’attention, il m’a semblé voir une anomalie que je n’arrivais pas à clairement identifier. Avec mon Galaxy Note, j’ai pris une photo, j’ai marqué l’anomalie en rajoutant une annotation et j’ai expédié par mail au Dr F. T. radiologue. La réponse n’a pas tardé, et au bout de quelques minutes, j’avais le diagnostic : infarctus du rein droit».
Dali Belkadhi étrenne son Galaxy Note.
Comme le plasticien et le médecin, Olivier Hart, architecte a, lui aussi, essayé le joyau de la maison. Selon lui, le petit objet a tout d’un grand. A part son écran «magnifique», son format «fin et léger», il y a la S-Pen qui est autre chose. «Excellent en photo et vidéo, du jamais vu pour moi sur un appareil de ce type. Alors Smatphone ou tablette ? Pour moi ni l’un ni l’autre. Un produit unique, et l’unique appareil à emporter !», a-t-il précisé.
L’artiste Jellel Gastli, a testé lui aussi, et dit ce qu’il pense de son petit gadget. «Avec le Samsung Galaxy Note, un moment de vie peut montrer l’invisible», parole d’un photographe averti.
«Mon épouse a adoré », dit Raja Farhat
Son collègue, le caricaturiste Lotfi Ben Sassi, a de son côté mis son petit piment de publicité. «J’en ai rêvé et c’est Samsung qui l’a fait», a-t-il commenté.
Raja Farhat ne rate pas la fête.
D’autres artistes n’ont pas encore trouvé le temps qu’il faut pour tester le petit de Samsung. Mais dans la ronde, nous avons croisé l’homme de théâtre Raouf Ben Amor, les représentants de Samsung Tunisie et autres invités.
«Il faut que je me familiarise avec le nombre infini d’applications proposées par Galaxy Note. Il me faut du temps. Je l’ai passé à mon épouse, une mordue de technologies et qui adore les nouveautés», a dit à Kapitalis le comédien Raja Farhat qui, comme tous ceux qui ont eu la chance de tester les premiers ce petit bijou, n’a rien déboursé. Un cadeau de la maison qui coûte quand même une petite fortune. Combien ? La bagatelle de 1.449 dinars, selon Medcom, qui s’occupe notamment de la distribution.
Z. A.