La fermeture de radios et de télévision qui font l’apologie du terrorisme n’est en aucun cas une atteinte à la liberté d’expression. Au contraire...
Nous n’avons aucune gêne après les massacres perpétrés par des groupes terroristes dans notre pays à défendre la décision du chef du gouvernement provisoire, Mehdi Jomaâ, de fermer les radios et les télévisions non autorisées, dont le financement est occulte et qui appellent à la violence, incitent les jeunes au djihad et font l’apologie du terrorisme. Nous pensons même que cette décision est quelque peu tardive, et qu’elle est insuffisante. Car, il ne s’agit pas seulement de fermer ces médias mais aussi d’enquêter sur leurs sources de financement, surtout extérieur, et de les poursuivre en justice pour tous les abus déjà commis. La liberté d’expression est un combat noble, mais qui ne s’applique pas au cas de ces marchands de la mort déguisés en journalistes. I. B. Illustration: Les studios de la radio extrémiste, Nour FM, non autorisée, ont été fermés, dimanche, par la force publique. |
{flike}