Samedi 16 août 2014, vers 15h, le président du SNJT s’est rendu au journal ‘‘Assahafa’’, au centre-ville de Tunis, où il travaille. Il a garé sa voiture non loin de là. A son retour, il a découvert la fenêtre de la voiture fracassée et il manquait son PC portable, son iPad ainsi que des documents personnels.

Neji Bghouri, dont les positions sont souvent intransigeantes et tranchées, a fait l’objet de nombreuses menaces. Il a donc de bonnes raisons de penser que cet acte de vandalisme est au mieux un avertissement au pire une nouvelle menace… D’autant que certains objets de valeur n’ont pas été pris…

Les voleurs n’ont finalement dérobé que ce qui les intéresse : son ordi et ses documents personnels.

Le dernier communiqué de la SNJT et les récentes déclarations de Néji Bghouri dénonçant le «blanchiment du terrorisme» sur certaines chaines de télévision ont valu au journaliste une campagne de dénigrement dans les réseaux sociaux où toutes les limites ont été dépassées.

Y. N. M.