Il a fallu l’intervention de ses collègues pour qu’il soit libéré peu de temps après son interpellation, sinon il aurait passé la journée au poste de police.

Selon Mosaïque FM, un agent de police a demandé à l’humoriste ses papiers d’identité avant de lui ordonner de le suivre au poste de police. Il lui aurait demandé, selon encore la même source, avec des termes grossiers, les noms de ses parents et grands-parents, en lui annonçant qu’il va rester en détention jusqu’à 19H00.

Si Wassim Herissi a été relâché rapidement c’est que le policier qui l’a interpellé n’a rien pu retenir contre lui.

Comment expliquer cette histoire? Zèle, abus, vengeance personnelle?

On croyait ces pratiques révolues depuis la chute du régime policier de Ben Ali. Le fait qu’elles fassent surface est pour le moins inquiétant.

Z. A.