L'élection de Miss et Mister Carthage 2013, qui se tiendra du 7 février au 30 mars, sera clôturée par une soirée-gala à l'Acropolium de Carthage.
Organisée par la société Artitude, ce concours permettra d'élire un Mister national et une Miss nationale et ses deux dauphines.
Le comité d'organisation est composé de M. Bessem Bembli, conseiller en image (président), Jean Raibaut du Comité Miss France (parrain), Syhem Belkhodja, présidente du festival Design et Mode de Carthage (marraine).
Cette manifestation vise à «instaurer une petite tradition dans les concours de beauté, en appliquant les normes et codes internationaux pour ce genre d'évènements, exploiter le capital beauté des Tunisiens/Tunisiennes pour sublimer l'image du pays dans une phase difficile de son Histoire, valoriser le potentiel des artistes tunisiens et mettre en valeur la synergie qui peut avoir entre les différents intervenants sur ce projet, contribuer à redonner à la Tunisie son image de patrie, de glamour et de l'échange entre différents milieux et redonner toute leur splendeur à certains secteurs comme le tourisme, la mode et l'art».
Les élus du concours représenteront la Tunisie dans des cérémonies officielles du même genre à travers le monde. Ils feront du bénévolat pour le compte des ONG humanitaires et associations en tant qu'ambassadeurs tunisiens de la beauté.
Le concept des Miss et Misters, classiquement bien travaillé dans d'autres pays, ne connait malheureusement pas de traditions en Tunisie, alors que la beauté a toujours été une valeur sûre pour commercialiser n'importe quel produit, allant des voitures aux établissement touristiques, produits de soin , de beauté, de luxe ..
En cette période dure il est indulgent de tenter de renvoyer une image rassurante du pays et construire avec les intervenants et partenaires un évènement qui réunit beauté, luxe, mode et différents secteurs artistiques.
Pour les organisateurs, il s'agit aussi de «montrer que, malgré la conjoncture difficile actuelle, on continue à se produire et que le degré de sécurité n'est pas aussi dégradé que certains essayent de le montrer au point de fragiliser plusieurs secteurs tel que le tourisme»
I. B. (avec communiqué).