Jazz village, nouveau concept du Festival de Jazz de Tabarka (29 août-6 septembre 2014), rythmera les nuits des estivants dans cette ville balnéaire du nord-ouest tunisien.
Le Jazz village, ouvert 18 heures par jour au centre-ville de Tabarka, sera dédié aux activités diurnes et nocturnes, indique un communiqué publié, jeudi 7 août 2014, par le Festival de Jazz de Tabarka. Dans le but de promouvoir le tourisme régional dans la ville de Tabarka, le comité d'organisation de cette manifestation appelle les artistes tunisiens (photographes, chanteurs, taggers, peintres, street artists, graffers, graffistes, calligraphistes, musiciens et danseurs) à participer à cet événement en adressant leurs candidatures à l'adresse électronique suivante: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.. Plusieurs volets caractérisent cette manifestation musicale et culturelle qui se veut un espace de rencontre des arts, de la musique jazz et du dialogue culturel. Voici les différents espaces qui seront aménagés au Jazz Village de Tabarka: - "Expressions": espace d'exposition photo des mythes et légendes du jazz; - "Moment de jazz": espace aménagé pour abriter des concerts quotidiens; - "Live paint": peintres, street artists, grafferss et graffistes invités à peindre des fresques, sur des panneaux ou sur les murs de la ville; - "Master class": pour permettre aux habitants et visiteurs de la ville de profiter gratuitement des cours de musique, chant, danse...; - "Exposition d'instruments": les personnes disposant d'instruments de musique provenant des 5 continents peuvent participer à cette exposition qui se veut insolite; - "Ciné Jazz": projection d'œuvres et de documentaires sur la musique jazz; - "Jazz Panache": espace d'échange et de partage entre spectateurs et musiciens et entre musiciens connus et moins connus; - "Bibliothèque de la plage" pour bronzer malin: Des livres sur les ténors de la musique jazz seront prêtés aux estivants afin de réconcilier le tunisien avec la lecture. Ce concept,comme on le voit, essaie de s’inspirer des débuts du Festival de Tabarka, sous la houlette de Lotfi Belhassine, à la fin des années 1970, lorsqu’il était une fête culturelle totale et un lieu cosmopolite de rencontre et d’échange. I. B. |
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