L’artiste invitée à participer au spectacle Hymne à la liberté, vendredi à l’amphithéâtre de Carthage, n’a pu quitter Paris-Orly, jeudi, qu’après avoir eu un laissez-passer. Par Zohra Abid


Quelques heures avant le spectacle de ce soir à Carthage, Boris Boillon, ambassadeur de France en Tunisie, a offert vendredi aux artistes et médias d’ici et de son pays un déjeuner dans les jardins de sa résidence Dar El Kamila de la Marsa (banlieue nord de Tunis).

 

A Kapitalis, la belle Arielle Dombasle (et, accessoirement, épouse du philosophe français Bernard Henri Lévy), n’a pas hésité à raconter sa mésaventure de la veille. Pour sa première visite au pays de Didon, elle était très mal dans sa peau et a dit qu’elle en garde un très mauvais souvenir. Mais pourquoi donc ? «Ça s’est très mal passé. On m’a volé mon passeport à la sécurité de Paris-Orly. La caméra a certes tout filmé. Le personnel incompétent de l’aéroport français n’a pas réagi tout de suite», s’est-elle plainte en présence de Soulafa Mokaddem, responsable à la Compagnie aérienne Tunisair, l’un des sponsors du spectacle tuniso-français. Et d’ajouter que c’est grâce à l’ambassadeur de son pays qu’elle a pu atterrir en Tunisie.

«C’est M. Boillon (Boris) qui m’a aidée. Il m’a trouvé un laissez-passer. Mais j’ai quand même raté le vol. Le commandant de bord de la compagnie Tunisair n’a pas voulu attendre 40 secondes et a vite décollé. Si on se comporte ainsi avec moi qui suis une figure de privilège absolu, alors imaginez un peu comment ça se passe avec les autres», a-t-elle ajouté. Et vlan ! Soulefa Mokaddem a essayé d’expliquer qu’elle a tout fait pour que l’artiste embarque dans l’avion suivant, mais le mal était déjà fait.

 

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Son passeport volé, Arielle Dombasle débarque en Tunisie avec un laissez-passer

L’artiste invitée à participer au spectacle Hymne à la liberté, vendredi à l’amphithéâtre de Carthage, n’a pu quitter Paris-Orly, jeudi, qu’après avoir eu un laissez-passer. Par Zohra Abid

Quelques heures avant le spectacle de ce soir à Carthage, Boris Boillon, ambassadeur de France en Tunisie, a offert vendredi aux artistes et médias d’ici et de son pays un déjeuner dans les jardins de sa résidence Dar El Kamila de la Marsa (banlieue nord de Tunis).

A Kapitalis, la belle Arielle Dombasle (et, accessoirement, épouse du philosophe français Bernard Henri Lévy), n’a pas hésité à raconter sa mésaventure de la veille. Pour sa première visite au pays de Didon, elle était très mal dans sa peau et a dit qu’elle garde un très mauvais souvenir. Mais pourquoi donc? «Ça s’est très mal passé. On m’a volé mon passeport à la sécurité de Paris-Orly. La caméra a certes tout filmé. Le personnel incompétent de l’aéroport français n’a pas réagi tout de suite», s’est-elle plainte en présence de Soulafa Mokaddem, responsable à la Compagnie aérienne Tunisair, l’un des sponsors du spectacle tuniso-français. Et d’ajouter que c’est grâce à l’ambassadeur de son pays qu’elle a pu atterrir en Tunisie.

«C’est M. Boillon (Boris) qui m’a aidée. Il m’a trouvé un laissez-passer. Mais j’ai raté quand même le vol. Le commandant de bord de la compagnie Tunisair n’a pas voulu attendre 40 secondes et a vite décollé. Si on se comporte avec moi qui suis une figure de privilège absolu, alors imaginez un peu comment ça se passe avec les autres», a-t-elle ajouté. Et vlan ! Soulefa Mokaddem a essayé d’expliquer qu’elle a tout fait pour que l’artiste embarque dans l’avion suivant, mais le mal est déjà fait.