Alors que tout le monde est parti à Tunis pour être du congrès nahdhaoui en grandes pompes, les ouvriers des chantiers, ras le bol des promesses du gouvernement dominé par le parti islamiste, ont défoncé les portes du siège du parti, chassé les employés et saccagé les lieux.


 

«Même si leurs demandes sont légitimes à propos de leur paie, ce comportement reste indigne», témoigne l’un des employés au bureau d’Ennahdha à Kasserine.

I. B.