Tunisie. Les syndicats de police montent au créneauLe porte-parole de l'Union des syndicats des forces de sûreté déplore le laxisme et le laisser-faire des autorités politiques, ainsi que de l'impunité de ceux attaquent agents de l'ordre et les postes de police ou de la garde nationale.

 

Imed Belhaj Khélifa rend responsables le président de la république Moncef Marzouki, le président de l'Assemblée nationale constituante (Anc) Mustapha Ben jaâfar et le chef du gouvernement Hamadi Jebali de ce que pourrait arriver aux forces de sécurité. Et appelle ses collègues à observer un sit-in général jeudi 1er novembre.

Selon M. Belhaj Khélifa, il était temps de traduire les fauteurs de troubles devant la justice.

«Depuis la révolution, plus de 600 agents du corps de la sécurité ont été la cible de certaines parties», s'indigne-t-il, sans désigner ces «parties».

Z. A.