Tunisie. Samir Ben Amor s’en prend aux «gouvernements de l’ombre»Les «gouvernements de l'ombre» n'ont plus aujourd'hui leur place en Tunisie et l'alliance de la troïka est un choix stratégique nécessaire.

 

C'est ce qu'a déclaré le conseiller juridique auprès de la présidence, Samir Ben Amor, membre du bureau politique du Congrès pour la République (CpR) dans une interview au journal ''Le Maghreb'', paru samedi.

M. Ben Amor fait allusion à l'homme d'affaires Kamel Eltaïef, soupçonné d'être derrière «l'homme de l'ombre» de certains partis de l'opposition.

Selon lui, l'état actuel du pays nécessite une alliance forte de la «troïka», regroupant le CpR, le parti islamiste Ennahdha et Ettakatol, qui serait, selon lui, «un choix stratégique pour traverser cette période de transition.»

Z. A.