Les derniers développements au Mali et la menace terroriste qui pèse sur la région maghrébine ont été au centre de l'entretien, samedi, à Addis-Abeba, entre Moncef Marzouki et Abdelmalek Sellal.
Le président de la république provisoire et le Premier ministre algérien ont souligné la nécessité de favoriser la coordination sécuritaire entre les deux pays pour combattre cette menace, indique l'agence officille Tap.
«Les sommets périodiques maghrébins ne sont pas suffisants pour raffermir les relations intermaghrébines», a affirmé Marzouki, estimant indispensable d'en accélérer la cadence, ajoute l'agence Tap.
Cette affirmation du président de la république provisoire est pour le moins surprenante, sachant que le dernier sommet maghrébin a eu lieu... en 1993, il y a donc près de 20 ans. Et que le sommet que voulait organiser M.
Marzouki, en octobre dernier à Tunis n'a pas eu lieu, sans que M. Marzouki ne s'exprime sur les raisons de cet échec.
De quels sommets parle-t-on M. Marzouki?
I. B.