Des services de renseignements algériens auraient intercepté, quelques jours après le 6 février, jour l'assassinat de Chokri Belaïd, une conversation téléphonique entre les assassins présumés et un politicien tunisien.
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C’est ce que rapporte le quotidien ‘‘Al Chourouk’’ dans son édition d’aujourd’hui, sans citer de sources précises. Le journal indique que la conversation téléphonique a duré une dizaine de minutes et que les assassins étaient, à ce moment-là, retranchés à Jebel Chaambi, près de Kasserine (centre-ouest). Y. N. M. |