Selon M. Kadri, les éléments salafistes qui règnent en maîtres dans ladite mosquée, l’ont enfermé dans la salle d’eau et lui ont asséné des coups de poing et de pied pendant près d’un quart d’heure.

«Ils ont fermé la porte de la mosquée et m’on tabassé. Ils me reprochent mes orientations politiques et mes dénonciations du jihad nikah (prostitution sacrée)», a-t-il déclaré aux médias.

«Ce n’est pas la première fois que cela m’arrive et je fais assumer au gouvernement et, surtout, à son chef, Ali Larayedh, tout malheur qui m’arriverait», a dit M. Kadri, qui affirme avoir déposé une plainte contre ses agresseurs auprès du poste de police le plus proche.

Z. A.