Après sa rencontre, mercredi, avec 7 leaders de partis, Houcine Abassi, secrétaire général de l’Union générale tunisienne de travail (UGTT), a encore prévenu qu’en cas d’échec du dialogue national, le pays sera exposé à des menaces terroristes.
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M. Abassi, qui parraine le dialogue national avec les dirigeants de 3 autres organisations nationales (Wided Bouchamaoui, présidente de l’Utica, Fadhel Mahfoudh, bâtonnier de l’Ordre des Avocats et Abdessattar Moussa, secrétaire général de la LTDH), est convaincu que l’échec du dialogue national pourrait mettre en danger la situation sécuritaire dans le pays, avec notamment la montée de menaces terroristes. Aussi appelle-t-il à nouveau les partis à privilégier les intérêts du pays et sur les calculs partisans, afin de parvenir à une solution concertée susceptible de mettre fin à la crise politique, de sauver l’économie et de préserver la stabilité sociale. Tout en exprimant ses craintes, M. Abassi se montre cependant optimiste, estimant que les partis sont en train de s’approcher d’une solution qui sera annoncée avant le 14 décembre, date butoir pour annoncer soit l’échec soit la reprise du dialogue national, suspendu depuis le 4 décembre faute d’un accord sur le nom du prochain chef du gouvernement. Z. A. |
