Selon Chafik Sarsar, l’organisation des prochaines élections pourraient coûter au contribuable tunisien la bagatelle de 100 millions de dinars (MD).
Selon le président de l’Instance des élections, les scrutins législatif et présidentiel, qui devraient se tenir en deux tours, conjointement ou séparément, pourrait coûter le double de celles organisées le 23 octobre 2011, et dont le coût s’est élevé à environ 45 MD. Les 100 MD devraient couvrir, notamment, dans la mise en place des bureaux de l’instance, le payement du personnel à recruter, l’impression des bulletins de vote et divers autres frais qui n’ont pas encore été évalués. M. Sarsar a également indiqué que la volonté de toutes les parties s’oriente vers la tenue de ces élections avant la fin de l’année en cours, comme le stipule la Constitution. Les dates du début novembre et fin décembre pour leur tenue en deux tours pourraient-être envisagées, mais il faudrait attendre que l’Instance étudie cette question et l’examine sur tous ses aspects avant de fixer des dates définitives. I. B. |
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