L’enquête, lancée à la demande des associations Sherpa et Transparence internationale France, spécialisées dans la dénonciation de la délinquance économique, et la Commission arabe des droits humains, a été confiée à l’Office central de répression de la grande délinquance financière et à Tracfin, la cellule antiblanchiment du ministère français de l’Economie.
La plainte vise le «recel et blanchiment et détournement de fonds publics». L’objectif est d’aboutir au gel des avoirs situés sur le sol français ainsi que leur restitution au peuple tunisien. Parmi ces biens, un immeuble à Paris à l’avenue Foch, un chalet à Courchevel, des villas haut standing sur la Côte d’Azur…