C'est ce qu'a révélé ce dernier, mercredi 27 août 2014, en marge d'un colloque à Tunis sur l'agriculture et l'énergie. Le président du haut comité politique du parti a qualifié de «modiques» les subventions publiques au candidat au 1er tour de la présidentielle, plafonnées à 75.000 dinars et 50.000 au second tour. Il aurait préféré qu'une concertation préalable ait eu lieu à ce sujet entre la présidence de la république, l'Instance des élections (Isie) et les partis.

Les caisses de l’Etat, on le sait, sont pleines et M. Chebbi et la cinquantaine d’autres candidats au Palais de Carthage peuvent y puiser à satiété!!

I. B. (avec Tap).