Dans la galaxie islamiste, qui lui voue désormais un véritable culte, il ne manque plus à Moncef Marzouki que le soutien d’Abou Iyadh, le chef d’Ansar Charia.
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C’est ce qu’a écrit, avec une ironie mordante, la comédienne et militante Leila Toubel, dans un commentaire posté sur sa page Facebook, lundi 10 novembre 2014, à propos de la campagne électorale du candidat du Congrès pour la république (CpR) à la présidentielle du 23 novembre 2014. Selon Leila Toubel, la campagne de Marzouki est menée par «Dhgij… Souguir… Béchir Ben Hassen, Ligues de protection de la révolution, bandits, criminels, anciens taulards, armées d’Ennahdha… Il ne manque à la galerie qu’Abou Iyadh pour soutenir Marzouki. Où est-il passé? Où est passé aussi Daêch??? J’ai tout vu de ma vie et je n’ai pas rencontré un homme aussi bas que ce président qui s’est installé 3 ans durant au palais de Carthage…», a noté la comédienne, sans prendre des pincettes, et en se bouchant le nez. Selon Leila Toubel, les masques sont tombés et Marzouki révèle son véritable visage, et «sa vérité, découverte dès le premier jour… Ceci est sa nature, son niveau. Il croit encore à la présidence… Mais il a tout vendu…», écrit encore la comédienne. «Après avoir vendu sa petite personne, il cherche à vendre la Tunisie aux ‘‘khouenjia’’ (Frères musulmans, NDLR)», ajoute-t-elle, avant de conclure: «Les femmes et les hommes de la Tunisie sont comme une épine dans sa gorge… On le méprise tant». Z. A. |
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