Selon Chafik Sarsar, président de l'Instance des élections (Isie), plus de 22 dépassements de la loi électorale ont été commis par des candidats à la présidentielle.
Le ministère public sera saisi saisis de tous ces dépassements, qui concernent, a-t-il précisé, l’utilisation des moyens de l’administration publique, la publicité illégale et les discours incitant à la haine et à la violence. Selon le président de l’Isie, qui n’a pas cité les noms des candidats fautifs, ces délits électoraux sont passibles d’une peine qui peut aller jusqu’à l’emprisonnement. Z. A. |
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