A l'occasion de la fête de la Jeunesse et de la Révolution (14 janvier), 2.135 détenus ont graciés été par le président de la république et 813 ont bénéficié d'une réduction de peine.
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Cette décision a été décidée selon des critères spécifiques adoptés par la commission de grâce relevant du ministère de la Justice. Celle-ci a étudié les dossiers des détenus dont le jugement a été prononcé et qui ont purgé l’essentiel de leur peine, indique la présidence de la république. Seuls les prisonniers ayant commis des délits sans gravité ont bénéficié de la grâce présidentielle, la commission ayant pris soin d’écarter les auteurs de crimes terroristes, de trafic d'armes, de meurtres et autres, jugés «dangereux», précise encore la présidence de la république. Le président de la république Béji Caïd Essebsi a signé le document de la grâce présidentielle en recevant, mardi 13 janvier 2015, au palais de Carthage, les membres de ladite Commission et à leur tête le ministre de la Justice Hafedh Ben Salah. Y. N. M. |
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