La Belgique va examiner la possibilité de convertir une partie de la dette tunisienne en investissements dans les zones frontalières.
C’est ce qu’a annoncé le vice-Premier ministre, ministre des Affaires étrangères et européennes belge Didier Reynders, ajoutant que son pays «veut renforcer la coopération avec la Tunisie à travers la promotion des investissements». En visite de travail de deux jours en Tunisie, le vice-Premier ministre belge s'exprimait lors d'une audience que lui accordait, mercredi 6 mai 2015, le président de la république Béji Caïd Essebsi. Cité dans un communiqué de la présidence de la république, le chef de l'Etat a souligné «les liens étroits entre les deux pays», mettant l'accent sur le soutien que peut apporter la Belgique à la Tunisie dans son dialogue avec l'Union européenne (UE). La Belgique peut également aider la Tunisie en matière de lutte contre le terrorisme et pour la sécurisation de ses frontières, souligne le communiqué. I. B. |
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