Les autorités n’ont rien entrepris au niveau des ambassades afin que les Tunisien(ne)s vivant à l’étranger puissent voter et participer à l’élection de l’assemblée nationale constituante, le 24 juillet.


Notre lecteur Mohamed Ali Kamoun, qui nous a alertés à ce sujet, estime qu’«il y a aussi le danger que le nombre requis (50.000 électeurs potentiels) pour constituer une circonscription électorale ne laisse en marge des masses de Tunisiens, comme ce serait le cas en Suisse et dans d’autres pays de résidence.»
Qu’en pense la Haute commission pour la réalisation des objectifs de la révolution, la réforme politique et la transition démocratique.

Kapitalis