Kapitalis a demandé à M. Zaïri les raisons de cette démission. L’homme nous a semblé perplexe. A-t-il reculé derrière l’ampleur des problèmes et des contraintes. Il n’a pourtant pas démérité: ses passages à la télévision, et notamment sur Al-Jazira, ont été remarquables et d’ailleurs forts remarquées. Peut-être aurait-il aimé pouvoir aider davantage à changer l’institution. Visiblement, il n’a pas pu faire grand-chose à son niveau.
Lors de son bref passage dans ce ministère, au lendemain du 14 janvier, M. Zaïri a toujours aidé ses anciens collègues journalistes, en leur fournissant les informations qu’il faut et à temps; et été à la hauteur d’un attaché de presse. Dommage!
Z. A.