«Ce qui vient de se passer aujourd’hui, ce n’est pas une bavure. C’est la contre-révolution qui s’installe. Leur [allusion aux forces de sécurité, Ndlr] manière si agressive témoigne encore une fois de leur opposition aux revendications de la révolution. Ils veulent terroriser le peuple pour l’amener à reculer. Et cela nous rappelle l’ancien régime. En tant qu’homme politique je leur dis qu’ils n’arriveront jamais à marcher contre le sens de l’histoire», a dit M. Marzouki.
Le président du Cpr était dans tous états. Et pour cause: dans l’après midi, plusieurs militants de son parti ont été arrêtés lors de la manifestation de la Kasbah.
Z. A.