Le Conseil national pour les libertés en Tunisie (Cnlt) a condamné lundi la violence policière infligée aux contestataires lors de la dispersion des sit-inneurs de la Kasbah III.


Le Cnlt condamne la «vile agression» perpétrée contre la mosquée de la Kasbah et considère, dans un communiqué, que le procès-verbal du procureur de la République n’a pas une base légale et constitue une infraction et une atteinte à la sacralité d’un lieu de culte.
Il condamne, en outre, le recours à la torture et aux traitements humiliants contre les citoyens arrêtés, ainsi que la violence policière subie par les contestataires, les journalistes, les citoyens, les défenseurs des droits de l’Homme et les blogueurs, ainsi que la violation du droit à la manifestation pacifique.