Dans un communiqué publié lundi sur les incidents du weel-end dernier, le Parti d’avant-garde arabe démocratique (Pagad), renvoie dos-à-dos le gouvernement, les partis et «certaines parties».


Le Pagad souligne que la situation actuelle du pays ne sert pas le processus de transition démocratique et la préparation des élections du 23 octobre. Il fait assumer l’entière responsabilité aux partis politiques et aux personnalités qui ont brisé l’état de consensus politique au service de leurs intérêts partisans et étroits, ainsi qu’aux parties dont les positions ont été touchées et au gouvernement de transition.
Le parti réaffirme son attachement au droit de tous à la liberté d’opinion et d’expression, et à la manifestation pacifique conformément à la loi et condamne toute forme d’escalade, de violence et de répression, dénonçant la voie suspecte choisie par certaines parties.