Les plaintes anonymes «ne peuvent pas être prises en compte tant qu’elles ne contiennent pas des informations claires et justifiées sur l’identité et l’adresse de l’expéditeur permettant de le contacter».


Le ministère tunisien de la Justice, qui a senti le besoin de faire cette précision dans un communiqué publié lundi, essaye ainsi de mettre fin ou au moins de réduire le flot de plaintes et lettres anonymes qui lui parviennent et qui engorgent ses services déjà largement.