Dans une lettre ouverte adressée mardi à Moncef Marzouki et Hamadi Jebali, le Syndicat des forces de sécurité intérieure affirme que ce corps n’a jamais manqué à son devoir national. Pourquoi ce besoin de justification ?
Le Syndicat considère le retrait enregistré dans certains postes comme étant une «tactique» visant à éviter l’effusion du sang. Il exhorte le président de la république et le chef du gouvernement à dénoncer les actes ciblant les agents des forces de sécurité dans leur intégrité physique et leurs locaux, appelant à la mise en place de législations adéquates.
Le syndicat appelle aussi à ce que le dossier du rétablissement de la sécurité et de la stabilité soit parmi les priorités du nouveau gouvernement.
I. B. (avec Tap).