Moncef Marzouki s’est entretenu, mardi, au palais de Carthage, avec les présidents d’associations de défense des droits de l’homme, d’anciens camarades de combat en somme.
Selon Imen Triki, présidente de l’association «Liberté et équité», le président de la république a promis de placer les questions de libertés et de droits de l’homme parmi les priorités de la prochaine étape. Ce qui n’est pas, exactement, un scoop, s’agissant d’un ancien président de la Ligue tunisienne des droits de l’homme (Ltdh).
Selon Samir Dilou, président de l’Association internationale de soutien aux prisonniers politiques (Aispp), a précisé que l’entretien avec le chef de l’Etat a porté sur la situation dans le pays, les droits de l’homme en Tunisie et les moyens de dynamiser les mécanismes de la justice transitionnelle.
Ahlem Belhaj, présidente de l’Association tunisienne des femmes démocrates (Atfd), a souligné, de son côté, avoir recommandé au nom de l’association de mentionner les droits de la femme dans la nouvelle constitution. Elle a ajouté que les questions de la lutte contre la violence à l’égard de la femme, la justice transitionnelle et les agressions contre les militantes et défenseurs des droits de l’homme sous l’ancien régime ont également été passées en revue.
Lotfi Azzouz, directeur du bureau d’Amnesty international à Tunis, a exprimé, pour sa part, la satisfaction de l’organisation des succès réalisés par la Tunisie en cette période de transition et sa disposition à rompre avec toutes les formes d’atteinte aux droits de l’homme dans la nouvelle Tunisie.
Jamel Miladi, vice-président d’Amnesty, a indiqué que le président de la république a signé les programmes des «Dix pas» mis en place par l’organisation pour la défense des droits des l’homme, le qualifiant d’acquis important pour la Tunisie.
I. B. (avec Tap).
Tunisie. Le président Marzouki reçoit ses camarades droits-de-l’hommistes
Moncef Marzouki s’est entretenu, mardi, au palais de Carthage, avec les présidents d’associations de défense des droits de l’homme, d’anciens camarades de combat en somme.
Selon Imen Triki, présidente de l’association «Liberté et équité», le président de la république a promis de placer les questions de libertés et de droits de l’homme parmi les priorités de la prochaine étape. Ce qui n’est pas, exactement, un scoop, s’agissant d’un ancien président de la Ligue tunisienne des droits de l’homme (Ltdh).
Selon Samir Dilou, président de l’Association internationale de soutien aux prisonniers politiques (Aispp), a précisé que l’entretien avec le chef de l’Etat a porté sur la situation dans le pays, les droits de l’homme en Tunisie et les moyens de dynamiser les mécanismes de la justice transitionnelle.
Ahlem Belhaj, présidente de l’Association tunisienne des femmes démocrates (Atfd), a souligné, de son côté, avoir recommandé au nom de l’association de mentionner les droits de la femme dans la nouvelle constitution. Elle a ajouté que les questions de la lutte contre la violence à l’égard de la femme, la justice transitionnelle et les agressions contre les militantes et défenseurs des droits de l’homme sous l’ancien régime ont également été passées en revue.
Lotfi Azzouz, directeur du bureau d’Amnesty international à Tunis, a exprimé, pour sa part, la satisfaction de l’organisation des succès réalisés par la Tunisie en cette période de transition et sa disposition à rompre avec toutes les formes d’atteinte aux droits de l’homme dans la nouvelle Tunisie.
Jamel Miladi, vice-président d’Amnesty, a indiqué que le président de la république a signé les programmes des «Dix pas» mis en place par l’organisation pour la défense des droits des l’homme, le qualifiant d’acquis important pour la Tunisie.
I. B. (avec Tap).